Comme toute industrie, l’industrie graphique est confrontée à des défis spécifiques et qui lui sont propres lorsqu’il s’agit du climat intérieur. Pour n’en citer que quelques-uns : la température intérieure peut s’élever de manière inconfortable en raison de la chaleur dégagée par les presses et machines d’impression ; la poussière et les COV libérés pendant le processus de production sont irritants pour les yeux et les voies respiratoires ; en outre, une fluctuation, même minime, sur le plan de l’humidité de l’air peut avoir un effet néfaste majeur sur le produit fini.
Pour résoudre ces problèmes, on se tourne souvent, avant toute chose, vers un refroidissement mécanique avec ventilation. Toutefois, cette solution implique des coûts énergétiques élevés, qui non seulement font grimper l’ardoise financière, mais ne sont pas non plus conformes aux accords conclus dans le cadre de l’Accord de Paris. En revanche, le refroidissement adiabatique à deux étages offre une solution extrêmement durable à tous les défis susmentionnés, y compris le problème d’humidité. Lisez la suite et découvrez comment l’industrie graphique a tout intérêt à opter pour un refroidissement adiabatique à deux étages.
Production de chaleur par des machines d’impression
Pendant le processus d’impression, les machines dégagent une très grande quantité de chaleur. D’autant plus si un séchage par UV est également appliqué. Cela peut faire monter en flèche les températures dans les salles d’impression, surtout en été lorsque les températures extérieures grimpent également. Il en résulte une perte de confort et de concentration sur le lieu de travail, et la nécessité de régler constamment les presses et machines d’impression.
Le refroidissement à ces températures à l’aide de techniques de refroidissement classiques consomme une énorme quantité d’énergie. Par conséquent, afin de respecter l’accord sur le climat et la nécessité de réduire les émissions de CO2 dans le monde entier, il est exclu d’opter pour une climatisation traditionnelle. Sans parler de l’ardoise financière. Dès lors, il faut évidemment choisir une solution climatique durable qui contribue au confort et à la productivité des employés de même qu’à l’efficacité des processus d’impression. Le refroidissement adiabatique à deux étages offre une telle solution. Cette technologie, basée sur le pouvoir d’évaporation de l’eau, consomme jusqu’à 90 % d’énergie en moins par rapport à une climatisation traditionnelle, sans que l’efficacité n’ait à en souffrir.
Une humidité de l’air et une température stables pour un produit fini de qualité
L’industrie graphique est confrontée à des processus où l’humidité et la température ont un impact notable sur le produit fini. Le papier est notamment introduit au travers des presses moyennant une force très importante de 200 kg. Les fluctuations en termes d’humidité et de température influencent dès lors, cela va de soi, l’allongement et le retrait du papier et, par conséquent, également le résultat d’impression. Il est donc extrêmement important que ces variables restent sous contrôle durant tout le processus. Comme le refroidissement adiabatique a pour effet que de l’eau s’évapore durant le processus de refroidissement, les gens sont souvent méfiants concernant l’application de cette technique dans l’industrie graphique. En effet, ils craignent que le processus adiabatique n’introduise de l’humidité (en trop grande quantité) dans l’air, ce qui aurait une incidence négative sur le processus de production. C’est souvent le cas avec un système de refroidissement adiabatique direct. Avec un refroidissement adiabatique à deux étages, qui fonctionne selon un processus indirect/direct, ce problème ne se pose pratiquement jamais. Ce processus de refroidissement naturel consiste tout d’abord à refroidir l’air frais à l’aide d’eau de reconduction froide, sans évaporation d’eau. Cet air frais est ensuite refroidi davantage par évaporation de l’humidité à l’aide d’un média d’humidification au niveau du 2e étage. Par opposition à d’autres systèmes de refroidissement adiabatique direct, l’humidité de l’air reste ainsi nettement plus basse et le risque de charge statique et de rétrécissement et de gondolement des bords est minimisé.
Afin de pouvoir imprimer également en hiver, lorsque le risque de charge statique est le plus élevé, un humidificateur est normalement présent. Un système de refroidissement adiabatique à deux étages et un humidificateur sont parfaitement compatibles.
Ventilation optimale contre la poussière et les COV
L’impression génère d’importantes quantités de poussière et de COV nocifs (tels que ceux contenus dans l’alcool isopropylique, les détergents et les encres). Ces conditions ont un effet néfaste sur le confort et la santé des travailleurs. Une ventilation optimale revêt donc une importance fondamentale pour l’industrie graphique. Le système de refroidissement adiabatique à deux étages d’Oxycom offre ici la solution parfaite. L’IntrCooll ventile plusieurs fois par heure avec de l’air extérieur 100 % frais et filtré et garantit ainsi une salle d’impression propre.
Les avantages du refroidissement adiabatique à deux étages pour l’industrie graphique en bref
La technique de refroidissement adiabatique à deux étages d’Oxycom permet de contrôler l’humidité de l’air en été et d’éviter les charges statiques et les déformations indésirables du papier. En outre, l’IntrCooll refroidit avec de l'air extérieur 100 % frais et filtré et fournit une température stable, créant ainsi un environnement de travail confortable et sain.- Humidité de l’air contrôlée contre les charges statiques & la déformation du papier
- Ventilation optimale avec de l’air extérieur frais et filtré contre la poussière et les COV
- Température confortable et stable avec 90 % d’énergie en moins
- Parfaitement compatible avec l’humidificateur présent dans l’imprimerie
Pour plus d’informations concernant l’application du refroidissement adiabatique à deux étages dans l’industrie graphique, lisez la référence de Lijnco b.v., ou contactez l’un de nos spécialistes en complétant le formulaire ci-dessous :
