Le changement climatique est la plus grande menace à laquelle nous sommes actuellement confrontés. Chaque piste avancée pour rester en dessous du niveau (à peine) acceptable de 1,5°C de réchauffement comprend toute une panoplie de solutions.
En 2011, une équipe de chercheurs de l’université de Cambridge a calculé dans quelle mesure les émissions mondiales de CO2 pourraient être réduites si nous exploitions au maximum toutes les technologies existantes afin de rendre les appareils qui utilisent de l’énergie aussi efficaces que possible. Ils en sont arrivés à la conclusion que nous disposons des possibilités technologiques requises afin de réduire de 73 % l’énergie que nous consommons actuellement, tout en conservant notre niveau actuel de production de services, tout simplement en améliorant notre efficacité.
Selon l’administration américaine d’information sur l’énergie (Energy Information Administration EIA), plus de 60 % de l’énergie utilisée pour la production d’électricité se perd lors de la conversion, c’est-à-dire lorsque l’énergie est convertie d’une forme à une autre et est déplacée d’un endroit à un autre. Si nous optimisions également les installations de conversion, nous aurions besoin de 85 % d’énergie en moins en adoptant des mesures d’économie d’énergie ou en évitant le transport d’énergie (énergie solaire produite localement).
Le changement climatique est la plus grande menace à laquelle nous sommes actuellement confrontés. Chaque piste avancée pour rester en dessous du niveau (à peine) acceptable de 1,5°C de réchauffement comprend toute une panoplie de solutions.
En 2011, une équipe de chercheurs de l’université de Cambridge a calculé dans quelle mesure les émissions mondiales de CO2 pourraient être réduites si nous exploitions au maximum toutes les technologies existantes afin de rendre les appareils qui utilisent de l’énergie aussi efficaces que possible. Ils en sont arrivés à la conclusion que nous disposons des possibilités technologiques requises afin de réduire de 73 % l’énergie que nous consommons actuellement, tout en conservant notre niveau actuel de production de services, tout simplement en améliorant notre efficacité.
Selon l’administration américaine d’information sur l’énergie (Energy Information Administration EIA), plus de 60 % de l’énergie utilisée pour la production d’électricité se perd lors de la conversion, c’est-à-dire lorsque l’énergie est convertie d’une forme à une autre et est déplacée d’un endroit à un autre. Si nous optimisions également les installations de conversion, nous aurions besoin de 85 % d’énergie en moins en adoptant des mesures d’économie d’énergie ou en évitant le transport d’énergie (énergie solaire produite localement).
La consommation d’énergie est de loin le plus gros producteur de gaz à effet de serre et est responsable de plus des trois quarts des émissions mondiales.
Illustration : Pertes d’énergie dues au transport d’électricité
Vagues de chaleur, consommation d’énergie et émissions mondiales : Une réaction en chaîne qui contribue au changement climatique
Selon le PNUE, des solutions de refroidissement respectueuses du climat permettraient d’éviter jusqu’à 460 milliards de tonnes d’émissions de gaz à effet de serre.
À mesure que les températures mondiales augmentent et que les vagues de chaleur sont de plus en plus fréquentes, la demande en climatiseurs va rapidement croissant. Les climatiseurs traditionnels consomment plus d’électricité que tous les autres appareils présents dans des bâtiments. Ils consomment 10 % de toute l’électricité au monde et libèrent dans l’atmosphère des gaz puissants qui réchauffent la planète.
Selon une étude récente menée par le NREL et XEROX PARC, l’énergie utilisée pour la climatisation dégage chaque année 1 950 millions de tonnes de dioxyde de carbone, dont 531 millions de tonnes résultent du refroidissement de l’air et 599 millions de tonnes de la déshumidification. 820 autres millions de tonnes proviennent des fuites de frigorigènes et des gaz à effet de serre émis dans le cadre de la fabrication et du transport des climatiseurs.
L’Agence internationale de l’énergie (AIE) estime que la demande mondiale en refroidissement de locaux aura plus que triplé d’ici 2050. La demande croissante en refroidissement est « l’un des problèmes énergétiques les plus critiques de notre époque », selon le rapport 2018 de l’AIE, qui demande une amélioration de l’efficacité des climatiseurs. Cependant, la transition vers un refroidissement respectueux du climat et peu énergivore permettrait d’éviter des émissions de gaz à effet de serre et d’accroître l’accès au refroidissement, ce qui contribuerait de manière substantielle aux objectifs de développement durable (ODD).
Refroidissement adiabatique : Une des panacées pour lutter contre le changement climatique
Il existe plusieurs moyens de lutter contre le problème du changement climatique et l’un d’entre eux réside dans le refroidissement adiabatique (à deux étages). Grâce à la force gigantesque de l’eau, il est possible de fournir un refroidissement de manière efficace. L’évaporation de 1 m³ d’eau fournit jusqu’à 695 kWh de puissance de refroidissement, alors qu’une climatisation traditionnelle aurait au moins besoin de 250 kWh pour fournir la même puissance de refroidissement.
Pour en savoir plus, consultez notre blog : L’eau comme frigorigène
Illustration: Consommation deau refroidissement adiabatique à deux étages
IntrCooll : Systèmes de refroidissement durables à haut rendement énergétique
Un défi fréquent auquel les sites de production sont actuellement confrontés consiste à arriver à créer un climat intérieur qui ne stimule pas le changement climatique. Le refroidissement adiabatique à deux étages breveté d’Oxycom, l’IntrCooll, est en mesure de refroidir jusqu’à 30°C en dessous de la température extérieure tout en consommant 90 % d’énergie en moins par rapport à une climatisation traditionnelle.
Pour une comparaison claire entre le refroidissement adiabatique à deux étages et la climatisation, consultez notre page : Refroidissement adiabatique par rapport à une climatisation.
IntrCooll, utilise 100 % d’air frais extérieur pendant le refroidissement libre et le refroidissement. Au printemps, en hiver ou en automne, le système utilise intelligemment l’air extérieur pour ventiler et refroidir sans consommer d’énergie. Lorsque la température extérieure dépasse les 18-22 °C, le système IntrCooll passe en mode de refroidissement par évaporation à deux étages : l’air extérieur est refroidi durant la première phase par de l’eau de recirculation froide et par évaporation directe durant la deuxième phase. IntrCooll fournit jusqu’à 40 kW de puissance de refroidissement avec 1 kW d’électricité. L’Energy Efficiency Ratio (ratio d’efficacité énergétique) de l’IntrCooll peut atteindre 40. Ce taux, appelé EER, est supérieur d’un facteur 10 à celui de systèmes de refroidissement traditionnels.
En hiver, le système IntrCooll peut être étendu d’un Heat Reclaim Module (module de récupération chaleur). Ce module réutilise la chaleur résiduelle générée par les machines, les processus, le chauffage, l’éclairage et les gens, la mélange avec de l’air frais extérieur et filtre en outre l’air recirculé à l’intérieur. Le hall de production est ainsi alimenté en air propre préchauffé.
Pour sa technologie de refroidissement, de chauffage et de ventilation à haut rendement énergétique, le système IntrCooll d’Oxycom a remporté le prix de l’innovation Energy Globe Award 2020 pour 87 % d’économies d’énergie et la réduction des émissions de CO2 dans le hall de KIEFEL Packaging GmbH en Haute-Autriche. Il est également important de mentionner que les unités IntrCooll d’Oxycom refroidissent uniquement grâce à la puissance de l’eau et que des frigorigènes chimiques nocifs ne sont aucunement nécessaires.
Découvrez comment vous aussi, vous pouvez créer un climat à haut rendement énergétique, confortable et durable au sein de votre site de production dans notre livre blanc « Défis & Opportunités » pour un contrôle climatique durable.
Si vous préférez entrer directement en contact avec un spécialiste dans le domaine du climat intérieur industriel afin de lui exposer vos défis, n’hésitez pas à compléter le formulaire ci-dessous avec votre demande. Nous serons ravis de vous aider.